Paris a-t-il tout inventé en matière de gastronomie ? Presque.
Depuis l'époque des grands rois, on vient à Paris apprendre ce qu'on appelle le savoir-vivre. La délicatesse et l'accommodement des plats ne suffit pas, loin de là, encore faut-il savoir en parler. Dialogue savoureux de Fouché et de Talleyrand dans le film Le Souper : ce dernier, de haute lignée, rappelle au rustre Fouché ce point essentiel. À Paris, on parle, on écrit depuis trois siècles sur les nourritures terrestres. On exige des tables délicatement apprêtées, Sèvres n'est pas loin.
On invente le premier restaurant, peut-être du côté du Palais Royal, on imagine les premiers guides, des classements impitoyables, on apprend à servir à la russe... Tiens, tiens, tout n'est donc pas parisien. Peu importe.
Les hommes deviennent aussi célèbres dans la gastronomie que dans la littérature ou la musique. Rossini fut l'auteur du Barbier de Séville, c'est entendu, mais aussi l'inventeur d'un célèbre tournedos. Curnonsky maria littérature et gastronomie, et fit prendre conscience aux Parisiens qu'on savoure plus et mieux dans le cadre d'un club exigeant. Les grands chefs parisiens sont devenus des vedettes mondiales.
Encore fallait-il que la science s'en mêle : savoir conserver les ingrédients, imaginer le froid, transporter le vin sans le détruire, comprendre les phénomènes engendrés par la cuisson... et puis inventer de multiples termes pour des activités pourtant bien voisines : bistrot, brasserie, guinguette, bars, tavernes...
Réponses dans ce nouveau numéro qui raconte comment Paris devint en quelques siècles la capitale de la gastronomie mondiale. Et propose des adresses originales, multiples, dûment sélectionnées d'aujourd'hui, des menus imprimés totalement inédits, des recettes de temps anciens mises au goût du jour par des chefs passionnés...
Ce premier numéro est entièrement consacré au locavorisme en Ile-de-France.
56 recettes au brocciu pour les gourmets et les gourmands. Un livre de cuisine corse riche d'une iconographie splendide
Fraîcheur, simplicité, inventivité : l'été est la saison propice à une cuisine inhabituelle, simple et variée, conviviale et festive. Les salades, les grillades, les légumes, les desserts glacés, tout concourt à une fête des goûts naturels, comme un retour aux sources...
En réunissant ici les meilleures recettes estivales, l'auteure a désiré faire partager son amour des produits du terroir, frais et de saison, avec les amoureux de la bonne cuisine et des saveurs Méditerranéennes.
50 recettes à déguster entre amis - pourquoi pas en plein air ? - à midi ou à minuit, entre la plage, l'apéro et la balade vespérale.
Menu Fretin s'est associé avec l'Institut Européen d'Histoire et des Cultures de l'Alimentation (IEHCA) pour proposer cette nouvelle revue : Les Cahiers de la Gastronomie. Elle se veut belle, sérieuse, pertinente et moderne.
Laboratoire d'idées, Les Cahiers de la Gastronomie ambitionnent de questionner la gastronomie, en affûtant le regard qu'on lui porte, en balisant son périmètre culturel et en ayant toujours à l'esprit que la cuisine parle davantage à notre cerveau qu'à notre estomac.
En puisant dans l'histoire pour mieux comprendre la gastronomie d'aujourd'hui. En traitant avec autant d'égard l'avantgarde et le classique car l'un n'existerait pas sans l'autre, mais surtout, et c'est une des leçons de l'histoire, l'un devenant l'autre puis redevenant l'un au fil des époques. Car oui, la gastronomie est à prendre comme un instantané culturel, reflet des cultures et des époques. Tout à la fois certitude et approximation, la gastronomie accompagne chacune de nos révolutions.
Cette revue est ouverte aux chercheurs, aux universitaires, aux journalistes, aux chefs, aux écrivains et artistes, bref, à tous ceux qui portent un regard pertinent sur la gastronomie. C'est également un lieu de débat, le rendez-vous de ceux et celles qui pensent que la gastronomie se prolonge au-delà de la cuisine.
Les Cahiers de la Gastronomie ont donc l'ambition de regarder un peu au-delà du nombril de l'assiette car la gastronomie est affaire de discours, de débats, de lectures, de rencontres, de toutes ces petites choses dont nous tenterons au fil des quatre numéros annuels de rendre compte.
Au Canada, les chasseurs sont nombreux. À chaque automne, nos grandes forêts sont envahies par ces hommes et ces femmes qui recherchent ce contact intime avec la nature qu'ont connu leurs ancêtres, explorateurs, coureurs des bois, découvreurs, pionniers et paysans.Puis, la saison de la chasse terminée, vient le temps de prendre le plaisir de déguster ces gibiers aux goûts riches, incomparables, typés et recherchés. Dans la cuisine de la chasse, comme ailleurs, souffle un vent de changement. Issu d'une quête de nouveauté gastronomique, ce livre vous fera découvrir des recettes traditionnelles renouvelées, des plats réinventés et des créations culinaires modernes, délicieuses et raffinées. On assiste aujourd'hui, à la naissance d'une gastronomie québécoise de la cuisine du gibier qui ouvre la porte sur un monde de découvertes et d'inventions.Manifestement, ce livre vient combler une lacune et tiendra une place de choix dans la bibliothèque de tout bon chasseur ou de toute personne qui cuisine le gibier.
Une cuisine de terroir ensoleillée...
La Corse est terre prodigue : poissons, viandes, légumes et fruits y sont naturellement gorgés de saveurs. La cuisine traditionnelle de l'île a su composer avec cette richesse et offre une myria-de de recettes originales et variées de l'entrée au dessert.
Enrichie de charcuterie, de fromages et de vins qui ont constitué sa renommée au-delà des mers, elle est aussi une cuisine moderne, délicate et facile à réussir, tant les Corses aiment la sobriété et la simplicité, au fondement de l'hospitalité qui leur est chère.
Les recettes du librettu font le tour des in-contournables recettes traditionnelles (farcis, sautés, soupes, etc.) mettant en valeur les ingré-dients naturels emblématiques de l'île (Brocciu, myrte, etc.).
Une invitation à un suave voyage culinaire...
Des Cultures de l'Alimentation (IEHCA) pour proposer cette nouvelle revue : Les Cahiers de la Gastronomie. Elle se veut belle, sérieuse, pertinente et moderne.
Laboratoire d'idées, Les Cahiers de la Gastronomie ambitionnent de questionner la gastronomie, en affûtant le regard qu'on lui porte, en balisant son périmètre culturel et en ayant toujours à l'esprit que la cuisine parle davantage à notre cerveau qu'à notre estomac.
En puisant dans l'histoire pour mieux comprendre la gastronomie d'aujourd'hui. En traitant avec autant d'égard l'avantgarde et le classique car l'un n'existerait pas sans l'autre, mais surtout, et c'est une des leçons de l'histoire, l'un devenant l'autre puis redevenant l'un au fil des époques. Car oui, la gastronomie est à prendre comme un instantané culturel, reflet des cultures et des époques. Tout à la fois certitude et approximation, la gastronomie accompagne chacune de nos révolutions.
Cette revue est ouverte aux chercheurs, aux universitaires, aux journalistes, aux chefs, aux écrivains et artistes, bref, à tous ceux qui portent un regard pertinent sur la gastronomie. C'est également un lieu de débat, le rendez-vous de ceux et celles qui pensent que la gastronomie se prolonge au-delà de la cuisine.
Les Cahiers de la Gastronomie ont donc l'ambition de regarder un peu au-delà du nombril de l'assiette car la gastronomie est affaire de discours, de débats, de lectures, de rencontres, de toutes ces petites choses dont nous tenterons au fil des quatre numéros annuels de rendre compte.
MEXIQUE Enrique SERNA » Numéro rassemblé et traduit par Marie-Ange Brillaud. Enrique Serna est né en1959. Récemment Gabriel Garcia Marquez, le reconnaissait comme l'un des auteurs mexicains à lire cette décennie. Ce numéro présente des nouvellistes de sa génération. Humour, étrange, poésie, tradition... le fil n'est pas rompu avec les écrivains latino-américains de années 60. Mais l'espace narratif s'est élargi. Nouvelles de Enrique SERNA, Hernan Lara ZAVALA, Jorge VOLPI, Norma LAZO, Ana GARCIA BERGUA, Eduardo Antonio PARRA, Eloy URROZ, Monica LAVIN, Julieta GARCIA GONZALEZ, Juan VILLORO, Pablo RAPHAEL de la MADRID Entretien avec Enrique Serna. Autres voix d'Amérique latine : entretiens avec Alfred Bryce-Echenique, Alberto Manguel, Eduardo Berti. Invitée : Vesta Monica HERRERIAS (photographe mexicaine.
Voici une sympathique invitation à découvrir les trois petits fruits les plus populaires au Québec: la fraise, le bleuet et la framboise.
La culture des petits fruits représente une importante force économique et fait travailler beaucoup de Québécois pendant la saison estivale, si courte soit-elle.
Dans ces quelques dizaines de pages, on y trouve toutes sortes de renseignements et de recettes faciles, aptes à fournir au palais des souvenirs mémorables.
Rares sont les gens qui savent que la fraise n'est pas réellement un fruit. En fait, elle est un faux fruit, tout comme la figue. Et pourtant, ce faux fruit est le fruit le plus populaire du Québec! Et celui qui s'occupe le plus de notre santé est sans contredit le bleuet, si riche en antioxydants. À la vérité, quand on l'examine de près, ses propriétés sont tout à fait stupéfiantes, sans compter qu'il possède un goût, un parfum et une couleur capables de combler les estomacs les plus exigeants. Quant à la framboise, merveilleuse, juteuse, généreuse, elle est, de par ses origines, rien de moins que divine!
Un petit livre, une grande fête; des petits desserts, de grandes satisfactions.
Bonne lecture et bonnes confitures!
Les cultures et patrimoines de l'Arc alpin se manifestent largement par les habitudes et traditions de la table, l'histoire, la géographie et l'ethnographie du goût, et la gastronomie vivante des Alpes, comme l'ont déjà démontré les éditions de L'Alpe consacrées aux vins et aux fromages. La revue se devait de s'intéresser maintenant à l'assiette et à la table des populations alpines, des usages d'hier aux pratiques d'aujourd'hui. Un numéro de L'Alpe à mettre entre toutes les mains et sur toutes les tables SOMMAIRE - Boucanée au vent de l'alpe - PAR MARTINE JAQUES-DUFOUR - Du bonheur plein l'assiette - Par HENRI PELLETIER - L'assommoir - Par PHILIPPE JOURNOUD - La marque du verrat - Par ANNE-MARIE TOPALOV - À la mode de cheznous - PAR MARIE-ANNE GUÉRIN - Cochonnailles savoyardes - Par DELPHINE BALVET, LAURENCE BERARD ET PHILIPPE MARCHENAY - Une fable d'Alexandre Dumas - Par CLAUDE SCHOPP - La grande invasion - Par SILVANO SERVENTI - Ravioles et ravioleuses - Par ANNE DA COSTA - Et patate à papy et patate à tata - Par MARIE-THÉRÈSE HERMANN - Les semences du pain sans fin - Par CLAUDE MACHEREL - Ca mord ? - Par DELPHINE BALVET, LAURENCE BERARD ET PHILIPPE MARCHENAY - Ni trop, ni trop peu et bien au contraire - Par ISABELLE RABOUD-SCHÜLE - Miam ! - Par JEAN FROC - Variations sur un même thème - Par WOLFRAUD DE CONCINI - Poyas de la Gruyère - PAR DENIS BUCHS - Oreillettes, mensonges et vie d'en haut - Par DANIELLE MUSSET - Do you speak montagne ? - PAR MICHEL TAILLAND
Ce numéro consacré à la " Géographie des saveurs " tente d'explorer les relations qu'entretient la géographie avec l'un de nos cinq sens, celui du goût.
Ce que nous entendons par saveur s'établit en référence à la définition suivante : " Qualité perçue par le sens du goût ". L'emploi de ce terme suggère une forte restriction quant au traitement des rapports de la géographie et de l'alimentation. La recherche de la satisfaction sous tous ses aspects ludiques et sécuritaires et non pas de la satiété constitue le centre des préoccupations de ce numéro.
L'usage du terme de saveur n'est pas innocent car il implique la notion de jugement et par là même suppose la diversité des goûts. Son usage devient même de plus en plus emblématique dans un monde en voie d'homogénéisation, dans lequel l'industrie agro-alimentaire est susceptible d'offrir des produits dotés du même goût dans le monde entier. Il rencontre un contexte de plus en plus favorable parmi ceux qui veulent défendre cette même diversité.
La sensibilisation aux différentes saveurs et au maintien des savoir faire devient garante de la protection de l'environnement comme du maintien de la biodiversité.
Dans les années 1930, l'invention du mélangeur a révolutionné notre façon de cuisiner. Cependant, depuis les années 1970, le robot de cuisine semble avoir peu à peu pris sa place, si bien qu'aujourd'hui on n'utilise le mélangeur que pour la préparation de certaines boissons. C'est pourtant un appareil indispensable et utile qu'il ne faut pas négliger. Il est important de lui redonner la place de choix qui lui revient pour moudre les épices, réduire les soupes en purée, concocter des boissons originales et préparer de nombreux autres plats. Le grand livre du mélangeur c'est: 400 recettes inoubliables.