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BAUDELAIRE
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Rien ne prédestinait un jeune Réunionnais d'origine comorienne à arpenter les rues grouillantes de la ville de New York, au début des années 80. Pourtant, son destin était déjà tout tracé vers une route connue de lui seul... Ismael est ballotté entre un père peu présent et une très jeune mère, observant des principes rigoureux hérités des ancêtres de son Ile. Pour réaliser ce rêve d'entreprendre, il faut se battre contre des obstacles multiples, administratifs, financiers, appréhender les doutes, les craintes, se protéger de l'absurdité et de l'ignorance de certains individus tenant des propos racistes. Le milieu new-yorkais n'est pas si aisé à intégrer pour ce jeune Noir des iles de l'océan Indien. Entre tristesse, peurs, frustration, souffrances physiques, il ne peut compter que sur lui-même. Parviendra-t-il à prendre son envol et s'élancer à la poursuite de son rêve ? Pourra-t-il le faire loin des siens ? Saura-t-il faire face aux difficultés ? Ismael Aboudou est né à l'ile de La Réunion. Il est un danseur-chorégraphe à la carrière internationale. Il effectue ses débuts à Paris et côtoie Maurice Béjart, Mia Frye, puis rejoint rapidement New York ou il se forme au Dance Theater of Harlem, au contact de grands danseurs comme les Nicholas Brothers ou Gregory Hines. En 1988, il fonde sa première école de danse à La Réunion, Re Dom Danse. Puis en 1995, il crée le Centre & Compagnie Ismael Aboudou de l'Océan Indien (CIAOI), très réputé aujourd'hui, et milite pour la création de la formation au diplôme d'État, encore inexistante à La Réunion.
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N'ayant eu aucun exemple de vie, j'ai désespérément cherché à comprendre qui j'étais, et pourquoi le bonheur ne m'était pas permis. Des comportements extrêmes (sexe, prostitution, alcool, tabac, drogues) ont généré en moi des déséquilibres émotionnels. Mais un jour, j'ai décidé d'obéir aux commandements de Dieu. Un joug générationnel puissant était alors rompu.« Demandez, et l'on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l'on vous ouvrira. » - Matthieu 7.7, La BibleÀ l'âge de 50 ans, j'ai obéi à Dieu en quittant le péché de la fornication et tout ce qui me paraissait être la sécurité avec un homme. Ma vraie raison de vivre s'est alors éveillée, le voile de l'aveuglement s'est déchiré et les démons m'ont quittée. Ma vie a alors changé du tout au tout, et mon âme a enfin pu trouver le repos. Les peurs remontant à mon enfance ont disparu et mes désirs insensés ont pris fin. Mon identité de descendante d'Abraham, de la lignée du Roi David, adoptée dans la grande famille de Jésus-Christ n'est plus cachée à ce jour. La liberté que je croyais vivre n'était que leurre et illusion.Christine Pflieger naît en Alsace en 1966. Après une enfance solitaire dans un contexte familial compliqué, elle quitte l'école pour aller travailler à l'usine textile Lang. Elle se fait émanciper à l'âge de 17 ans, et prend son envol tel un oiseau aux ailes cassées.Très instable, Christine change d'emploi tous les deux ans : après avoir travaillé dans le textile, la restauration, des bars, ou encore dans le domaine de l'esthétique, elle participe à la démolition de maisons alsaciennes au sein de l'entreprise familiale. Au cours de sa vie professionnelle, elle exerce également ce que l'on appelle « le plus vieux métier du monde » ; un milieu qui est mis en lumière dans cet ouvrage.
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Souris, Sue Ellen : petit journal d'une infirmière
Solen Winckler
- Baudelaire
- 24 Juillet 2022
- 9791020351609
« Il y a un super jeu que ma meilleure amie m'a appris, qui me plaît beaucoup, qui consiste à dire « titre » lorsque quelqu'un prononce une phrase qui pourrait faire l'objet d'un titre de film X.Exemple :« Est-ce que tout va rentrer ? » Titre !Ou encore :« Qu'est-ce qu'elle est bonne. » Titre !Donc, lorsque ma patiente de quatre-vingt-quinze ans m'a demandé en me montrant ses comprimés : Le gros, il faut le sucer ? Je n'ai pas pu résister de lui répondre : Titre !Heureusement, elle ne connaît pas le jeu. »Née dans le Loir-et-Cher en 1981, Solen Winckler fait ses études à Amboise et obtient son diplôme d'état infirmier en 2002. Passionnée par la lecture, le sport, les voyages et les chats, elle part vivre deux ans en Martinique avant de s'installer à la Réunion en 2006, pour y rejoindre sa soeur.Elle passe son diplôme de puéricultrice en 2007 et travaille au sein de différents services. Depuis 2009, elle exerce en libéral. Côtoyant de près le monde du livre - sa soeur a créé sa maison d'édition, Austral Éditions -, Solen se lance à son tour dans l'écriture afin de raconter ses journées de travail avec beaucoup d'humour et d'ironie, sous la forme d'un journal de bord.
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Ce témoignage relate la vie de Julie B., que l'on pourrait qualifier d'extraordinaire. À travers un dialogue entre sa maman - rédactrice de ce livre -, sa fidèle amie Marie T., et Dominique, vous découvrirez les évènements qui ont jalonné la vie de Julie et l'impact qu'elle a eu sur celles et ceux qui ont eu la chance de la croiser...Aucun de ces faits ne peut être changé, modifié, déformé ou remis en cause, comme de multiples témoins - anonymes ou à la renommée internationale - peuvent en attester...La question n'est donc pas de savoir si vous y croirez ou non.La question fondamentale est la suivante : qu'allez-vous faire du message qui vous attend au détour de ces chapitres, et qui pourrait bien changer le cours de votre vie ?Tel un bodhisattva, Julie B. est une jeune fille qui a accepté de renoncer à tout, y compris à son corps et à ses fonctions motrices, afin de se consacrer à aider chaque être grâce à ses dons exceptionnels. Elle est notamment dotée du don d'accéder aux autres dimensions, tels que les champs akashiques.Julie a ainsi choisi une destinée hors du commun, en transcendant son statut de victime d'une encéphalite post-vaccinale pour devenir à la fois « porte-parole » des enfants différents, médium, guide, visionnaire, guérisseuse et oracle.Béatrice B., sa maman, se présente en plaisantant comme « l'humble scribe du big boss », autrement dit « la secrétaire attitrée de Julie, toujours à ses ordres ». Après s'être consacrée plusieurs années à l'organisation de Symposiums Internationaux pour la Recherche, à l'oeuvre d'intérêt général pour l'enfance handicapée et au projet d'École d'Expression par Connexion, elle s'est retirée de la vie publique pour se consacrer à l'écriture de livres dictés ou insufflés par Julie.
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Si Rose-Marie m'était contée... ma vie de boulangère
Rose-marie Lefetey
- Baudelaire
- 1 Mai 2019
- 9791020320537
Née en 1936, Rose-Marie va connaître une enfance rude et difficile entre la maladie et une maman sévère. Mais c'était l'époque... Sa jeunesse a été perturbée par un viol, qui s'est ensuivi quelques jours plus tard d'une agression sexuelle par vengeance, exactions toutes deux passées sous silence.Prédestinée à être couturière, sa vie a changé lorsqu'elle a rencontré Georges Lefetey, alors jeune boulanger. Elle a consacré sa vie à la boulangerie et aux boulangères, pour lesquelles elle s'est battue afin d'obtenir une formation pour ce métier que la plupart découvraient avec le mariage et une juste reconnaissance de leur place dans l'entreprise. Ce dévouement a valu à Rose-Marie Lefetey d'être reconnue par ses pairs, d'être décorée de la Légion d'honneur et de recevoir de nombreuses autres nominations.Mais tout a basculé en 2001. Rose-Marie a vécu des moments difficiles en perdant tout ce qu'elle avait, se retrouvant à la rue à cause d'un mari flambeur et ludopathe. Sa force et sa détermination lui ont permis de se reconstruire et de devenir une femme heureuse et accomplie.Auteur de huit ouvrages et encore chef d'entreprise à 82 ans, Rose-Marie continue d'exercer sa passion : transmettre son savoir-faire. Comme elle le dit toujours : « Vive la vie ! ».
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Découvrez la vie étonnante et inattendue d'un modeste agriculteur, partageant son temps et son énergie entre sa ferme d'élevage, Paris, Bruxelles ou l'autre bout du monde, au service d'une profession solidaire et organisée. Voilà de quoi battre en brèche les préjugés ou les idées reçues de certains, qui n'ont pas suivi de près la formidable évolution de cette activité tournée vers le progrès et l'innovation. La nature et le vivant, au coeur de ce métier et de notre alimentation, concernent chacun d'entre nous. Le consensus entre tous est possible, si nous faisons place au bon sens.Aujourd'hui âgé de 69 ans, Gilbert Bros a été agriculteur durant quarante-trois ans. Engagé sur les terres de Haute-Loire et du Massif central, cet éleveur de brebis a été parmi les premiers à expérimenter, en association avec son père, la formule des GAEC. Il n'a cessé de défendre une agriculture innovante. En tant que représentant syndical au sein de la FNSEA, d'abord au niveau départemental et régional, puis aux côtés des têtes d'affiche de ce syndicat majoritaire dans la profession, cet homme de tempérament - qui a également occupé la fonction de président de la chambre d'agriculture de Haute-Loire - a été de tous les combats. Il n'a manqué ni d'idées ni d'énergie pour observer, analyser et accompagner, en France mais aussi en Europe, un monde agricole qui a vécu, des années 70 aux années 2010, d'importantes crises : quotas laitiers, vache folle, sécheresses et calamités...
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Intimes convictions d'un médecin de campagne
Jean-François Garreau
- Baudelaire
- 23 Novembre 2023
- 9791020365682
Ayant été médecin de campagne pendant plus de quarante ans jusqu'en 2021, j'ai appris à rendre visite aux humains pour les aider à guérir. Partager leurs souffrances pour tenter de les soulager m'a construit : « je suis devenu moi grâce à toi »...
Intimement convaincu que ma vie personnelle et professionnelle a été une véritable aventure humaine, je désire à présent vous présenter l'homme-médecin que je suis.
Jean-François Garreau exerce en tant que médecin de campagne en Picardie pendant plus de quarante ans. Sa carrière le conduit doucement à la retraite en Bretagne, par des chemins humains - donc imparfaits. À travers cet ouvrage, il désire transmettre et recevoir les contenus de sa bouteille à la mer. Voudrez-vous l'ouvrir ? -
Que dire, que conter, que composer de Louise-Marie et d'Eloi Manant ? Ils ont tous deux vu le jour à l'aube de la Grande Guerre. Ils étaient, j'ai fortement envie de le croire, forcément faits pour se rencontrer et s'unir. Ces deux êtres que je chéris tant dans ce livre de souvenirs, étaient mes grands-parents, de bien belles personnes en fait, remarquables de par leurs actions bienfaisantes, tout au long de leur illustre vie.
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Se déplacer pour avancer / Rechercher constamment une larme de bonheur, une lueur de progrès / La vie offre ses clefs, / Derrière chaque porte, un conte de fées / On fait son chemin, pas à pas, sans se soucier / Hélas, un moment fatidique vint / Nul ne peut échapper à son destin / Les langues se délient, les sentiments s'entremêlent / Les situations deviennent claires et les secrets se révèlent...
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Confinée à cause de la crise du coronavirus, Yvette voit ressurgir ses souvenirs de la guerre, de l'Occupation et de la Résistance. Elle évoque des événements dramatiques ainsi que des anecdotes. Fond historique et faits réels se côtoient et se mêlent au contexte actuel. Ils nourrissent sa réflexion et suscitent un questionnement chez Yvette. C'est par le truchement de sa fille que le récit prend forme.Yvette Laurens-Seus née en 1929 à Rabastens, a vécu sous l'Occupation. Elle suit des cours de dessin avec l'illustrateur Gaston Jacquement, puis avec l'école Marc Saurel. Plus tard, elle s'engage dans le soutien scolaire en tant que bénévole. Sa contribution est telle qu'elle reçoit les Palmes académiques. Elle milite également de façon active aux côtés d'anciennes résistantes à l'UFF - aujourd'hui Femmes Solidaires -, ainsi qu'au Mouvement de la Paix.Katia Seus-Walker est née en France en 1951. Elle enseigne à l'université de Washington et à l'université de Californie, puis à l'université de Toulouse où elle fait de la recherche en didactique des langues. Très tôt stimulée par le vécu et les récits de sa mère, elle s'intéresse à l'Occupation et la Résistance, au point de s'enrichir de rencontres telles que celles avec Pierre Seghers et de rédiger une thèse sur la poésie de la Résistance.
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Issu d'une famille pauvre, l'auteur a dû faire preuve de beaucoup de ténacité pour apprendre les bonnes manières, le savoir-vivre et se confronter à la réalité. Après avoir essuyé plusieurs échecs, il est parvenu à franchir les étapes de la vie la tête haute, en se créant un nom, en fondant une famille et en se mettant au service des gens.Voici le témoignage d'un homme comblé qui sort de l'ombre. Tout en parvenant à rester lui-même, il écoute, partage, compatit et donne sans compter, avec un coeur « gros comme ça ».Ery Cadet est né en 1965 à Saint-Leu, sur l'île de La Réunion. Fils d'agriculteurs, il a toujours voulu aider les autres. À 20 ans, il fait son service militaire pendant quatorze mois avant de regagner son île, où il travaille comme maçon. Il crée son entreprise de bâtiment en 1990. Marié et père de quatre filles, il aime la musique et joue des rimes en devenant auteur-compositeur. Passionné d'écriture, Ery remporte en 2019 un concours de poèmes sur une radio locale ; de fil en aiguille, il décide de publier son premier recueil puis son autobiographie.
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Ceux pour qui la psychiatrie est un objet sombre et froid, trouveront ici un éclairage sur des chemins qui seraient d'habitude cachés de façon pudique. Je n'ai pas honte de le dire, je suis un illuminé. Cela m'a valu d'être interné en hôpital psychiatrique. Pour autant, la médecine réussit parfois à soigner cette maladie difficile qu'est la schizophrénie. En réalité on ne guérit pas complètement et les familles des malades sont confrontées à la peine et à la douleur. Le passage en hôpital psychiatrique est une des clés nécessaires au retour à l'ordinaire pour un individu dont le cerveau ne fonctionne plus normalement.
Vous, familles de malades, vous, personnels soignants, trouverez dans mon témoignage assez de lumière et de courage pour lutter contre cette maladie mal connue. Vous y découvrirez la multiplicité des cas et le travail compliqué des psychiatres, des infirmiers et autres personnels soignants. -
« Derrière mon sourire, ma petite voix naïve Se cache une rage, une colère vive [...] Je suis coincée entre deux mondes L'un est merveilleux, l'autre bien plus sombre » Par ces mots, l'autrice exprime l'ambivalence de tous les sentiments qui l'assaillent : ses doutes, ses peurs, ses angoisses et ses incertitudes. À travers le prisme de la poésie, cette jeune étudiante en gemmologie âgée de 20 ans dépeint avec une grande sensibilité des sujets universels et d'autres plus intimistes.
Née en 2003 à L'Isle-Adam, Jade Le Ruyet est passionnée par l'art, elle a un attrait particulier pour le dessin et la peinture. En littérature, elle s'intéresse aussi bien à Victor Hugo et Guy de Maupassant qu'à Joël Dicker ou Amélie Nothomb. Elle aime voyager et découvrir de nouveaux horizons, de nouvelles cultures. Elle ressort grandie de chacun de ses voyages, notamment ceux effectués en Asie, qui lui ont appris à prendre du recul, à rester humble et à garder l'esprit ouvert. De nature plutôt introvertie, hypersensible et réfléchie, elle découvre l'écriture qui devient son exutoire et sa thérapie alors qu'elle traverse une dépression sévère. Coucher ses idées sur le papier participe à sa guérison lors de son hospitalisation, la poésie étant pour elle un moyen de mettre des mots sur ses maux. Le recueil Exister représente l'aboutissement d'une période de remise en question. -
Mère célibataire luttant contre le cancer du sein, Rama se bat quotidiennement pour joindre les deux bouts. Sa grossesse précoce, causée par celui qui aurait dû la protéger, la plonge dans une longue période de solitude et de survie. Malgré une intense histoire d'amour avec Alexandre, cet espoir est écourté lorsque ce dernier apprend l'existence d'un lourd secret. Il laisse alors à Rama un deuxième enfant qui grandira sans son père. Atteinte d'un cancer du sein et gardant enfouis les traumatismes de son enfance, elle puise dans sa force intérieure pour affronter ces défis. Entre les rivalités de ses filles, les mensonges et la maladie, sa vie s'effondre tel un château de cartes. Son dernier combat contre la maladie révèle l'essence même de son destin. Entre maladie et mésentente avec sa fille aînée, Rama pourra-t-elle tenir le coup ? Pardonnera-t-elle à Alexandre qui l'a abandonnée du jour au lendemain ? Quels sont ces lourds secrets que cache Rama ?
Artiste et chanteuse sénégalaise, GuiGui Sarr commence sa carrière artistique en jouant un rôle principal dans une série à succès au Sénégal. Après des études à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar, elle obtient un bachelor en business administration et un master 2 en communication. Pendant cinq ans, elle travaille dans une banque tout en continuant à créer de la musique, sortant deux albums. Passionnée de cinéma, elle suit une formation et s'inscrit en MBA production audiovisuelle, rêvant de voir un jour ses oeuvres adaptées au cinéma. Marquée par la mort d'une de ses tantes, GuiGui s'engage dans le combat contre les cancers du sein et de l'utérus. Chaque année depuis 2016, elle organise un festival au Sénégal offrant des consultations et des dépistages gratuits pour les cancers du sein et du col de l'utérus, bénéficiant à plus de vingt mille femmes jusqu'à présent. Elle utilise maintenant sa plume pour sensibiliser à ces maladies, offrant un message d'espoir et de résilience. -
Je suis né en Lorraine, très peu d'années avant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui, nous sommes en 2013 et je regarde le chemin parcouru. C'est déjà un long chemin, semé d'embûches. La vie n'a pas toujours été facile.
Aujourd'hui, j'éprouve le besoin de l'écrire noir sur blanc, d'évoquer toutes les périodes de cette vie qui ont laissé une trace.
Rires, larmes, joies et peines : tout ce que nous réserve une vie hors du commun.
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« Aide-toi, le ciel t'aidera ! » Lors d'une interview du président Pompidou, on lui demanda une définition du bonheur... Après avoir réfléchi quelques minutes, le président répondit : « Le bonheur... c'est de faire le métier que l'on aime. » Et pour moi, ce fut le cas. Bien que d'origine très modeste (mon grand père était berger, mon père garçon de café, ma mère sans profession), j'allais à l'école communale, puis au collège, où je réussis à faire des études secondaires correctes. Puis à la faculté, je fis des études médicales jusqu'à ma thèse. Je continuais en me spécialisant en anesthésie réanimation. Mais pour faire ce parcours, il m'a fallu travailler pendant onze ans, sans prendre de vacances, en acceptant tous les travaux qui se présentaient à moi (laver des voitures, démarcher à domicile, travailler le soir dans une menuiserie, prendre des gardes de nuit dans des cliniques... et pratiquer, dès la première année, des remplacements d'anesthésie) aussi bien les week ends, que le jour ou la nuit ! N'est-il pas dit quelque part : « aide-toi, le ciel t'aidera ! » Il m'est arrivé assez souvent de faire 35 heures en deux jours... Quelquefois plus. Étant d'une intelligence moyenne, n'ayant pas une excellente mémoire, je devais travailler beaucoup plus pour acquérir les connaissances nécessaires à l'obtention de mes diplômes. Ce qui m'animait fortement, c'était d'arriver à suivre mes camarades plus doués que moi ! Et ce fut un excellent stimulant ! Ce livre est avant tout un message aux jeunes générations : il n'est de rêve, de place, que l'on ne puisse atteindre à force de travail et d'obstination.
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Michel Menu, fondateur des Raiders scouts puis des Goums, a fait rêver d'aventures et d'excellence des générations de jeunes. Entre 1970 et 2015, il les a accompagnés dans ces raids goums en marchant dans le désert des Causses. Au rythme du silence et du dépouillement, il leur a donné les moyens de s'épanouir au service des autres et à la recherche du sens de la vie. C'est un précurseur, tel un Sylvain Tesson... croyant. Son message et sa mémoire continuent d'ouvrir les chemins qui redonnent la liberté de penser et d'agir.À présent, l'un de ses fils nous invite à mettre nos pas dans sa trace pour retrouver l'authenticité de son projet et à découvrir, sous le visage du chef, l'homme au coeur sensible et profondément attachant qu'il était. Fruit de nombreux dialogues père fils au cours de marches communes et puisant dans ses écrits, cet ouvrage est aussi un hommage à celui qui a confié à l'auteur la boussole dont il se servait lors de ses évasions en 1940. Elle indique encore le Nord et permet de savoir où aller, avec qui et vers qui...Chirurgien cardiaque des hôpitaux et professeur des universités, Paul Menu a consacré une partie de sa vie à aider les plus démunis dans le cadre de missions humanitaires. Avec un petit groupe et sous l'impulsion de son père, il a participé activement à la naissance des Goums et à leur développement. Lanceur goumier, il a participé depuis le premier raid goum à cette aventure et a marché avec son père pendant plus de soixante ans dans les Causses et en Vendée.En dehors d'articles médicaux et de réflexions sur la médecine humanitaire, il a écrit plusieurs articles dans les revues Goum et À la belle étoile, et publié un livre, Notre pain quotidien, aux éditions Amalthée.
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Jamais je n'aurais envisagé d'écrire un livre, mais une force irrépressible m'a poussée à partager les expériences vécues.
Car dans ma vie, pourtant ordinaire, il m'a été donné de vivre des choses extraordinaires : elles ont conforté ma certitude de l'existence d'une vie après la mort.
À travers ce vécu, la perspective d'une énergie bienfaisante, qui puisse être utilisée par tous et de façon illimitée, s'est présentée à moi.
Cette magie de la Vie me permet de vivre plus facilement ; je souhaite maintenant partager avec vous cette richesse. Car vous avez tout autant que moi la faculté de vous en servir.
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Le chemin de vie d'Abigaïl Bonnefoy aura été pour le moins tragique et empli de souffrances. Rejetée dès sa naissance, elle connaît une enfance difficile - viols, tortures et placements en foyers de la DASS. Le début de sa vie d'adulte n'est guère mieux. Puis, la maladie gagne du terrain et c'est tout le corps qui est touché : il n'y a plus aucun espoir de guérison.
Jusqu'à cette rencontre extraordinaire qui a bouleversé sa vie - la malédiction et la mort ont fait place à la bénédiction et la vie en abondance. Aujourd'hui, la vie d'Abigaïl est complètement transformée : guérie, elle a été adoptée et a démarré une nouvelle vie.
Elle souhaite à travers ce livre transmettre un message d'espoir et de foi à tous ceux qui sont dans la souffrance ou qui cherchent une raison de vivre. Elle explique comment elle a pu sortir de cet enfer et se reconstruire pour avancer sur le chemin d'une nouvelle vie, pleine d'amour, de joie et d'espoir.
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Le mazot de Fifine à Samoëns, en Haute-Savoie, a été reconverti en centre de réinsertion pour jeunes asociaux. Les éducateurs insolites sous la tutelle de leur chef de file, Jean, un ex trader reconverti, seront-ils à la hauteur du défi ? De même, les jeunes accueillis, stigmatisés ou rejetés parfois en raison de leur appartenance sociale ou ethnique et en proie à de nombreux doutes sur leur avenir saisiront-ils la chance qui leur est offerte ?
Une aventure rocambolesque pleine de rebondissements où l'auteur nous invite à réfléchir sur nos préjugés et les actes qui en découlent...
Les chemins qui mènent à l'écriture sont bien souvent la somme de blessures et d'expériences non conformes. À l'école de la république, on apprend à appliquer les consignes, à l'école de la vie on apprend à se battre - à quand une école pour apprendre la passion ? Ainsi, l'écriture est la compagne de route de Patrick LABROSSE, celle qui lui permet de trouver les mots pour le dire, les mots pour détourner les consignes, se battre, se révolter et enfin vivre sa passion...
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Être payé pendant trente ans pour s'attabler dans les meilleurs restaurants - dans les moins bons aussi - est une situation enviable. C'est en tout cas le lot de tous les critiques gastronomiques.
Après avoir évoqué sa jeunesse et la naissance de sa passion pour la bonne chère, Michel Piot raconte ce métier, qu'il pratiqua longtemps. Il évoque la cuisine et la restauration françaises dans les trente dernières années du XXe siècle, dit son amitié pour les cuisiniers et vignerons qu'il a côtoyés.
Ce livre est une souriante leçon de joie de vivre et d'optimisme : savourons la vie aujourd'hui, et si demain est encore meilleur, tant mieux !
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À travers différentes histoires, Véronique Tivoli relate les sept années durant lesquelles, en tant qu'assistante familiale, elle a accueilli chez elle plus de cinquante-cinq enfants placés par l'aide sociale à l'enfance - âgés de 14 mois à 21 ans. Elle révèle ce qu'on ne peut imaginer du dispositif d'accueil d'urgence. Entre effroi, douleur et espoir, on découvre le récit poignant d'une femme engagée.Née en 1968 à Marseille, c'est durant ses études d'horticulture que Véronique Tivoli exerce comme animatrice dans un centre de loisirs. Pendant plus de vingt-cinq ans, elle travaille auprès des enfants, en tant que directrice de centres de loisirs, assistante maternelle et assistante familiale. En 2019, après avoir accueilli plus de cinquante-cinq enfants à son domicile, elle désire retrouver un rythme de vie plus stable et démissionne de son emploi d'assistante familiale. Après avoir pris cette décision, elle se lance dans l'écriture de Mes enfants et ceux des autres...
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Anne était infirmière est le témoignage de l'auteure après trente-cinq années de service en milieu hospitalier. De ses premiers jours à l'école jusqu'au dernier de sa carrière, elle fait le récit de son engagement, de son amour du métier mais surtout de la joie de contribuer à sauver des vies. Entre anecdotes drôles et difficultés du quotidien, découvrez un regard inédit sur une profession en constant changement au fil des années. Cet ouvrage se veut un témoignage et un testament. Peu de temps avant de terminer sa carrière, Hélène KERLEC a décidé qu elle coucherait sur papier son parcours professionnel afin de raconter ses souvenirs. Elle livre ainsi un bilan de son expérience. Pour faire face aux obstacles, à la fatigue et aux souffrances rencontrées, elle trouve son équilibre dans l écriture certes, mais aussi auprès de sa famille, de ses amis et dans ses passions : la randonnée pédestre, l'amour de la nature et la musique.
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« La dépression postnatale touche entre 15 % et 20 % des mères. » écrit Le Monde dans un article de 2009. J'ai un doute : beaucoup de femmes n'osent pas parler par peur du regard des autres. Je comprends à présent le sens de l'adage : « tu ne peux pas savoir tant que tu ne le vis pas ». J'ai morflé, j'ai cru mourir, j'ai eu mal dans ma chair et dans mon coeur de mère. L'impact sur le reste de ma famille a été énorme - cette même famille dont le soutien a été si précieux, essentiel.Aujourd'hui, je déclare qu'il est temps de libérer la parole sur la dépression post-partum (DPP), parce que nous ne sommes jamais que des mères, nous sommes avant tout des êtres humains.Née à Reims, Adeline Paraffe se rêve écrivaine depuis qu'elle est adolescente. Elle dévore les livres et se plaît à écrire, inspirée par l'imaginaire des films Disney. Or, la vie l'éloigne rapidement de son rêve : maman à vingt ans, séparée à vingt-quatre ans, elle doit faire face au handicap de sa fille et de ses deux garçons. En témoignant aujourd'hui dans son ouvrage Moi, contre la dépression post-partum, elle reprend la route de ses rêves.