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Lulu
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Croc-Blanc, un chien-loup suit la meute et ses premières semaines de vie sauvage, sa lutte pour la vie. Puis il fait l'expérience de la vie chez les Indiens ; son maître se nomme Castor-Gris. Il rencontre d'autres chiens, Lip-lip étant son rival. Mais Croc-Blanc, fier et puissant, subit la méchanceté des hommes ; en réaction, il devient un combattant féroce.Il est échangé à Beauty Smith pour devenir une bête de combat.Castor-Gris refuse de le reprendre. Il gagne chaque duel jusqu'au jour où il doit se battre avec un bulldog du nom de Cherokee. Alors qu'il est gravement blessé, deux hommes arrêtent le combat : Weedon Scott, un ingénieur des mines, et son ami Matt. Croc-Blanc est recueilli et sauvé des mauvais traitements.Grâce au temps de ses nouveaux maîtres, il découvre « l'amour » et « l'amitié ».
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La distance entre Suez et Aden est exactement de treize cent dix milles, et le cahier des charges de la compagnie alloue à ses paquebots un laps de temps de cent trente huit heures pour la franchir. "Le MONGOLIA," dont les feux étaient activement poussés marchait de manière à devancer l'arrivée règlementaire. La plupart des passagers embarqués à Brindisi avaient presque tous pour destination l'Inde. Les uns se rendaient à Bombay, les autres à Calcutta, mais via Bombay, car depuis qu'un chemin de fer traverse dans toute sa largeur la péninsule indienne,...
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L'Homme qui plantait des arbres écrit en 1953correspond, pour Giono, à un amour réel des arbres.Enfant, il accompagnait son père dans les collineset plantait des glands tout comme le berger évoquédans cette nouvelle. Ainsi, évoque-t-il ElzéardBouffier, qui fait revivre son coin de terre, enplantant différentes essences d'arbres. Nous lisonsici une ode au travail, à la persévérance, à lapatience devant la nature et des cycles des saisons,à l'humilité. Elzéard Bouffier montre plusieurstraits, chers à l'auteur, comme la vertu du silence etl'abnégation dans le travail solitaire jusqu'à la mort.L'action d'Elzéard Bouffier a également, à longterme, des conséquences sociales et économiquesuniques en permettant aux villages alentours,souvent désertés, d'accueillir de nouvelles familleset ainsi de revivre.
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Personne n'a sans doute oublié le terrible coup de vent de nord est qui se déchaina au milieu de l'équinoxe de cette année, et pendant lequel le baromètre tomba à sept cent dix millimètres. Ce fut un ouragan, sans intermittence, qui dura du 18 au 26 mars. Les ravages qu'il produisit furent immenses en Amérique, en Europe, en Asie, sur une zone large de dix huit cents milles, qui se dessinait obliquement à l'équateur, depuis le trente cinquième parallèle nord jusqu'au quarantième parallèle sud ! Villes renversées, forêts déracinées, rivages dévastés par des montagnes d'eau....
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UNE FÊTE AU PALAIS NEUF: - "Sire, une nouvelle dépêche. - D'où vient elle ? - de Tomsk. - Le fil est coupé au delà de cette ville ? - Il est coupé depuis hier. - D'heure en heure, général, fais passer un télégramme à Tomsk, et que l'on me tienne au courant. - Oui, sire" répondit le général KISSOF. Ces paroles étaient échangées à deux heures du matin, au moment où la fête, donnée au Palais-Neuf, était dans toute sa magnificence. Pendant cette soirée, la musique des régiments de PREOBRAJENSKY et de PAULOWSKY n'avait cessé de jouer ses polkas, ses mazurkas, ses SCOTTISCHS et ses valses,...
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LES MORTS VONT VITE: - Tout cela était si insolite et mystérieux que je fus près de m'évanouir. Je commençais à regretter de n'avoir pas suivi le conseil de JOHAM. Une idée effrayante me vint alors à l'esprit. C'était la nuit de Walpurgis ! Walpurgis NACHT ! Oui, la nuit de Walpurgis durant laquelle des milliers et des milliers de gens croient que le diable surgit parmi nous, que les morts sortent de leurs tombes, et que tous les génies malins de la terre, de l'air et des eaux mènent une bacchanale. Je me trouvais au lieu même que le cocher avait voulu éviter à tout prix - dans ce village abandonné....
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Lamentable tragédie que la vie d'Edgar Poe ! Sa mort, dénuement horrible dont l'horreur est accrue par la trivialité ! De tous les documents que j'ai lus est résulté pour moi la conviction que les Etats Unis ne furent pour Poe qu'une vaste prison qu'il parcourait avec l'agitation fiévreuse d'un être fait pour respirer dans un monde plus anormal, - qu'une grande barbarie éclairée au gaz, - et que sa vie intérieure, spirituelle de poète ou même d'ivrogne, n'était qu'un effort perpétuel pour échapper à l'influence de cette atmosphère antipathique....
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Emma vit avec son père, un vieil homme veuf et malade. Elle est belle intelligente et riche. Avec le mariage de sa gouvernante qui la quitte, Emma décide de s'occuper du mariage de nombre de ses relations. Sûre d'elle, elle est persuadée d'avoir les talents pour cette activité. Mais son inexpérience de l'amour et des gens, ses propres erreurs de jugement sur ses émotions amoureuses, lui valent bien des surprises et déceptions.Ce roman décrivant la vie et les moeurs des jeunes femmes provinciales de la classe moyenne est souvent considéré comme le roman le plus abouti de Jane Austen.
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Veuf et père de trois filles, le baronnet Walter Eliot est ruiné. Il doit laisser sa propriété en location pour se retirer à Bath. Sa fille Elisabeth le suit tandis que ses deux autres filles restent dans la région, Anne toujours célibataire à 28 ans trouvant refuge chez sa soeur Mary. Les nouveaux locataires de la propriété arrivent, il s'agit de l'amiral Croft et de sa femme. Celle-ci a un frère, le Capitaine Wentworth, qui a été fiancé il y a quelques années avec Anne. Celle-ci n'avait pas donné suite à cette liaison, suivant l'avis de son amie, Lady Russell, qui trouvait le capitaine d'un rang inférieur indigne d'Anne. Mais les années ont passé, le capitaine rend visite à sa soeur, il a réussi et s'est enrichi, il cherche à se marier. Anne n'a pas oublié Wentworth...
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Le Bignon de l'endroit, sachant qu'il s'adressait à des connaisseurs, s'était surpassé dans la confection des cent cinquante plats dont se composait le menu du dîner. Au début et comme entrée de jeu, figuraient des gâteaux sucrés, du caviar, des sauterelles frites et des huitres de NING PO. Puis se succédèrent, à courts intervalles, des oeufs pochés de cane, de pigeon et de vanneau, des nids d'hirondelle aux oeufs brouillés, des fricassées de "ginseng", des ouïes d'esturgeon en compote, des nerfs de baleine sauce au sucre, des têtards d'eau douce, des jaunes de crabe en ragoût, des gésiers de moineau....
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Cette autobiographie est une introduction accessible à un révolutionnaire remarquable ainsi qu'à ses idées. Il s'agit d'un livre extrêmement politique, ce qui n'est pas surprenant étant donné le rôle de l'activité politique dans la vie de Lev Dadidovich Bronstein, alias Léon Trotsky (1879-1940).Malgré sa taille, ce livre constitue un bon point de départ pour les lectrices et lecteurs désireux de connaître Trotsky. Trotsky était un écrivain doué, l'ouvrage se lit facilement et surprend régulièrement par des comparaisons, des images frappantes ou des répliques cinglantes.Trotsky a écrit Ma vie en exil. Il aurait préféré ne pas avoir de temps à consacrer à cette autobiographie, mais l'usurpation du pouvoir par la bureaucratie stalinienne en Union soviétique l'a d'abord conduit à l'isolement, puis à l'exil intérieur et enfin à l'expulsion.Ce livre est une oeuvre polémique et une défense d'Octobre 1917 par l'un des principaux protagonistes de cette révolution.Cette édition comprend un appendice du révolutionnaire français Alfred Rosmer concernant la vie et l'oeuvre de Trotsky après la rédaction de ce livre.
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La T.A.Z. me semble aujourd'hui un ouvrage propre aux années 1980, une ère étrangement romantique et plus érotique que les années 90 ou que cette décade anonyme dans laquelle nous vivons aujourd'hui. En regardant en arrière, je suis étonné par son anti-pessimisme. Le monde allait vivre de grands changements - la pseudo-Fin de l'Histoire - alors même que ce livre venait de paraître ; mais la T.A.Z. a toujours perçu le monde sous le signe d'une dialectique présente en moi depuis ma naissance : la Guerre Froide, le clash à la Tweedledum / Tweedledee du capitalisme et du stalinisme. L'idée de base de la Zone Autonome Temporaire était censée être une contribution à une troisième voie, une forme d'évasion de la dialectique, une alternative au Capital et à l'Idéologie.
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CHARLESTON. - 27 septembre 1869. - Nous quittons le quai de la Batterie, 0 trois heures du soir, à la pleine mer. Le jusant nous porte rapidement au large. Le capitaine HUNTLY a fait établir les hautes et basses voiles, et la brise du nord pousse le Chancellor à travers la baie. Bientôt le fort SUMTER est doublé, et les batteries rasantes de la côte sont laissées sur la gauche. A quatre heures, le goulet, d'où s'échappe un rapide courant de reflux, livre passage au navire. Mais la haute mer est encore loin, et, pour l'atteindre, il faut suivre les étroites passes que le flot a creusées entre les bancs de sable....
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Le Saint-Esprit constitue l'âme, la sève vitale de l'Église et de chaque chrétien : c'est l'Amour de Dieu qui fait de notre coeur sa demeure et entre en communion avec nous. Le Saint-Esprit est toujours avec nous, il est toujours en nous, dans notre coeur.
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Jaime Torrijos était lieutenant dans le régiment de cavalerie d'Agreda, qui tenait alors garnison à Cochabamba. Il était admiré et aimé des officiers et des soldats parce qu'il y avait dans son corps une force et une audace extraordinaires. Il était aimé des femmes pour la même raison.Quand je le connus sa renommée commençait à se répandre hors du régiment et de la ville. Il en jouissait insoucieusement. J'étais guitariste et je m'attachai à Jaime qui me voulait dans ses orgies. Il manquait toujours d'argent à cause des cartes et de l'amour.J'étais joueur de guitare, mais j'avais été aussi séminariste ; quand je ne grattais pas ma guitare je lisais des livres de théologie. J'observais les hommes et les femmes de toute espèce et je voyais comme il était facile de les mener. Le pouvoir qu'exerçait sur les hommes et les femmes le corps valeureux de Jaime me frappa et m'intéressa tout de suite. Moi qui méprisais tout pouvoir, je me demandai avec curiosité si ce don pouvait être poussé hors de son aire natale. Certes la guitare suffisait à me faire de la vie un enchantement, mais j'avais envie d'introduire de périlleuses figures dans l'intime cercle de moi-même.Pendant les orgies de Jaime, je le regardais et j'improvisais des chansons qui vantaient son courage et celui des cavaliers d'Agreda. Tous les goûtaient et se nourrissaient d'orgueil.Dans ce temps-là, c'était Benito Ramirez qui était le Protecteur de l'État. Il était ferme et rusé à souhait, mais sa domination avait duré assez longtemps pour que ses amis autant que ses ennemis en fussent fatigués.Dans mes chansons, je commençai d'exciter le mépris contre le Protecteur et de le menacer de la défaveur des cavaliers d'Agreda. D'abord, je ne faisais que plaisanter. Mais Jaime, qui s'ennuyait, qui avait besoin d'aventures et qui avait appris de moi qui il était, commença de déchiffrer le sens secret de mes chansons.Une nuit, étant ivre, il s'écria :- Benito Ramirez reste au pouvoir parce que je le veux bien.Le lendemain, je vins dans la chambre d'une femme où il était et je l'interrogeai sur ce propos. Il ne s'en souvenait plus, mais bientôt il convint qu'il l'avait tenu et même qu'il connaissait la pensée qui était derrière ce propos.Là-dessus, il rencontra Conception. Conception était la plus belle putain de Bolivie, et quand elle arriva à Cochabamba, Jaime n'eut plus d'yeux que pour elle. Elle avait eu dans la capitale beaucoup d'amants distingués et elle méprisa le petit lieutenant...
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Victor Hautin, « Inspecteur Victor » de la Brigade mondaine, fils d'un ancien procureur toulousain, a passé une bonne partie de sa carrière aux colonies. Il est apprécié de sa hiérarchie en dépit d'un esprit assez indépendant, d'une humeur capricieuse, et d'une manière de procéder un peu trop fantaisiste. De plus, incorrigible suborneur de femmes mariées et de filles à marier, il a vu sa promotion pour le poste d'inspecteur de la Sûreté compromise par des scandales. Aujourd'hui, plus calme et plus sage, sa renommée va bientôt atteindre le public au cours d'une affaire retentissante. Ses antécédents, sa perspicacité, sa ténacité et sa facilité au déguisement auraient pu faire penser à un des avatars de Lupin si ce récit ne l'amenait à lutter contre le célèbre aventurier qui justement recommence à faire parler de lui dans l'est du pays.
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Lorraine, Aout 1914, un bataillon de Chasseurs alpins du XVème corps monte au front. C'est le début de la boucherie, des pantalons rouges garances et des massacres, c'est un conflit qui commence la fleur au fusil, jusqu'à l'Appel du Sol...
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Trois morts en trois mois à Angoulins. Le mystèresubsiste. La PJ mène son enquête.Découvrez l'assassin.
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A la fin du 18ème siècle, Achille, jeune esclave, est enrôlé de force sur un navire pirate.Contre mauvaise fortune bon coeur, il s'initie au métier de marin grâce au soutien du capitaine Sainte-Barbe et, avec aversion, à celui de pirate.A bord, il est accepté par l'équipage, à l'exception de Le Borgne, qui lui voue une haine tenace.Pour donner un sens à sa nouvelle vie, il se fait la promesse de revenir à l'île Bourbon pour retrouver sa famille et Stéphanie, son amour d'enfance.Après de nombreuses aventures faites d'abordages, de chasse au trésor, d'équipées fantastiques, de trahison et une rencontre fortuite, Achille devient enfin un homme libre et respecté.Mais, tiendra-t-il sa promesse?
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Journal d'une Femme Créole. J'ai allumé tous les flambeaux, puis je me suis mise à écrire sur mon lit, après avoir fermé le moustiquaire. J'aurai moins peur à présent. La nuit m'a semblé si brusque ! Oh ! je me rappellerai toujours cette sortie de l'église, ce jour décoloré, cette allée d'acajous dont le feuillage m'apparut terne et flétri. Il soufflait un vent frais, et j'ai respiré, sous le porche, une odeur exquise, la même odeur que Mme Du Plantier,....
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Acte I. Scène I. LE COMTE, seul, en grand manteau brun et chapeau rabattu. Il tire sa montre en se promenant. - Le jour est moins avancé que je ne croyais. L'heure à laquelle elle a comme de se montrer derrière sa jalousie est encore éloignée. N'importe; il vaut mieux arriver trop tôt que de manquer l'instant de la voir. Si quelque aimable de la Cour pouvait me deviner à cent lieues de Madrid, arrêté tous les matins sous les fenêtres d'une femme à qui je n'ai jamais parlé, il me prendrait pour un Espagnol du temps d'Isabelle. Pourquoi non ? Chacun court après le bonheur. Il est pour moi dans le coeur de Rosine. Mais quoi ! suivre une femme à Séville, quand Madrid et la Cour offrent de toutes parts des plaisirs si faciles ?...
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Qu'est-ce que la foi ? La foi a-t-elle encore un sens dans un monde où science et technique ont ouvert des horizons encore impensables il y a peu ? Que signifie croire aujourd'hui ? En effet, à notre époque est nécessaire une éducation renouvelée à la foi
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