« Je suis un autodidacte. Ce livre est un livre d’espoir. Avec Gi, nous sommes partis de rien. Nous nous sommes construits au quotidien, ouverts au monde, à la culture,
à l’économie, aux autres… Notre vie est faite de beaucoup d’échecs. »
Tels furent les premiers mots de Michel Bras au début de nos entretiens à Lagardelle. L’ascension de Lou Mazuc au Suquet, sept kilomètres de distance, aussi brillante soit-elle, fut jalonnée d’épreuves. Rien ne laissait deviner pareille destinée et c’est au long « d’égarements en chemins buissonniers » que la voie fut tracée.