Au début des années 2000, un revers du destin propulse Nathalie George dans une chambre de bonne de 7 mètres carrés. Espace, confort, dépenses... Elle renonce à tout, sauf à l'amour de la cuisine et du partage, qui font depuis toujours le sel de sa vie. En tailleur Chanel, sur son petit réchaud, elle mêle ainsi astuces, imagination et bon sens pour concocter de merveilleux menus avec trois fois rien.Il y a les soupes du quotidien, que les étudiants viennent chercher dans le couloir. Il y a les plats italiens et ceux hérités de sa grand-mère, dont raffolent les voisins. Et puis il y a les dîners de fête, où se déguste le seul luxe qui vaille:la joie d'être ensemble.Dans ce livre truffé d'humour, Nathalie George nous transmet des recettes simples et authentiques, véritable retour aux sources.
Une nouvelle édition de La Cuisine du 6è étage avec un coup de projecteur sur la fin de l'année avec deux textes inédits de Jacky Durand et Yannick Alleno ainsi que de nouvelles recettes spécial fin d'année et la fameuse liste de légumes de saison. Et un cadeau d'un petit carnet pour écrire ses recettes.
Nathalie George, nous propose une pièce en trois actes, métaphore sensible et libérée, qui affirme que la cuisine peut sauver une existence.
Après avoir subi un revers de fortune au début des années 2000, elle se retrouve au sixième étage dans une chambre de bonne. A travers les témoignages de personnes d'âges et d'horizons divers qui ont emprunté l'escalier pour dîner et partager au sixième, Nathalie George nous offre une superbe leçon de vie, portée par un humour décapant et une sensibilité lumineuse.
Du piano de Gilberte au réchaud du sixième étage, une histoire de plusieurs vies menée tambour battant. Loin d'être seulement un livre de cuisine, on est témoin d'une formidable force de vie qui fait un bien fou dans ces temps agités.
Lorenzo conduit sa vie comme il pilote ses avions, jusqu'au jour où, confronté à une série d'événements hors du commun, il remet toute son existence en question.
Le destin va pousser cet homme dans ses retranchements les plus intimes, côtoyant des univers jusqu'ici inconnus, flirtant avec les frontières de l'au-delà et de la folie.
Entre Paris et Rome, Juste derrière moi est une aventure palpitante, qui nous entraîne au coeur des souvenirs les plus profondément enfouis, pour enfin regarder le présent en face. Mais que se passe-t-il quand la réalité dépasse l'imagination ?
Le célèbre récit de George Orwell dans une traduction adaptée aux collégiens. L'édition, tout en couleurs et adaptée à tous les profils de lecteurs, est enrichie de compléments pédagogiques, en lien avec les thèmes « Dénoncer les travers de la société » et « Agir dans la cité : individu et pouvoir » du programme de français en 3e.
Le récit À la ferme du Manoir, les animaux, excédés par la tyrannie de M. Jones, se révoltent et mettent en place un nouveau régime : l'animalisme. Mais bientôt, les cochons, qui ont pris le commandement, font basculer la ferme dans un régime autoritaire qui exploite les animaux et musèle tous les opposants.
À travers cette fable dystopique, Orwell dénonce les dérives du stalinisme et plus largement tous les systèmes d'oppression, offrant ainsi une puissante réflexion sur la liberté.
Les compléments pédagogiques - un avant-texte pour préparer la lecture - des lectures actives au fil du texte - des repères sur la satire et le roman à clé - un parcours de lecture analytique - des ateliers interdisciplinaires - un groupement thématique : « La raison du plus fort » - une enquête sur le totalitarisme Les ressources en ligne - Grâce à des mini-liens, l'élève accède immédiatement à des enregistrements audio (extraits lus par des comédiens), qui lui permettent d'entrer plus facilement dans l'oeuvre : https://www.hatier-clic.fr/2946851.
- Dans le guide pédagogique, téléchargeable sur www.editions-hatier.fr, les enseignants trouveront un descriptif complet de la séquence et les corrigés des questionnaires.
Extrait« TOUS LES ANIMAUX SONT ÉGAUX MAIS CERTAINS ANIMAUX SONT PLUS ÉGAUX QUE D'AUTRES » L'auteurGeorge Orwell s'est battu toute sa vie pour « une société d'êtres humains libres et égaux », défendant les « simples gens » contre toute forme de pouvoir autoritaire.
« Au-dessus de la page, un poème. En bas, un autre. Entre les deux, entre ciel et terre, le vide de la page, inaltérable : souffle du vide, énergie, par la grâce desquels lettres et images des haïkus scintillent souplement entre elles, s'enlacent, sans se ressembler. Et aussi, au fil des pages, rature, ratage de l'insaisissable, qui rebondissent en « libres reprises » inachevées, pour toucher par un autre bord l'obscur sans nom que le mot passionnément désire serrer. » Extrait de la postface de Ginette Michaux;
Le contexte social à l'épreuve des discours institutionnels et politiques / De l'idéologie au discours idéologique : d'un discours institué à un discours instituant / Homogénéisation des discours institutionnels : le cas de l'objet scientifique sanitaire / ...
Une vision globale et cohérente des principes applicables aux confins du droit civil et du droit pénal.
Bien que la responsabilité civile et la responsabilité pénale poursuivent des objectifs distincts, elles entretiennent des relations étroites.
Les principes, dont « le criminel tient le civil en état », l'autorité de la chose jugée au pénal sur le civil et l'identité des fautes civile et pénale, posent dans la pratique de nombreuses questions résultant de l'imbrication de ces deux types de responsabilité.
Cet ouvrage, à travers quatorze exposés à vocation résolument pragmatique, intégrant les dernières évolutions législatives et jurisprudentielles, est l'occasion d'offrir aux praticiens une vision globale et cohérente des principes applicables aux confins du droit civil et du droit pénal. Il met notamment en lumière les avantages et les inconvénients des choix procéduraux posés tout en ouvrant de nouvelles pistes de solution.
SOMMAIRE Ouvertures Nathalie Nabert, Une trace fugitive et provocatrice...
Georges Sebbag, L'Ombre frissonnante SORTIR DE L'OMBRE Germaine Orlandi Cerenza, Dans le secret d'Aquarium Marie-Louise Lentengre, Apollinaire et Soupault : petite mythologie Jacqueline Gojard, André Salmon et Philippe Soupault Emmanuel Rubio, André Breton et Philippe Soupault entre morale et écriture : les interlocuteurs impartiaux Georges Sebbag, Philippe Soupault ou l'ombre surréaliste L'ombre des peintres Pascal Rousseau, L'échange du portrait, Philippe Soupault et le peintre Robert Delaunay Valentine Oncins, Paolo Uccello - Philippe Soupault - Henri Rousseau Passeur d'ombres Béatrice Mousli, Philippe Soupault éditeur et revuiste Gérard Durozoi, Philippe Soupault et le roman policier Une poétique frissonnante Hughes Labrusse, Écriture automatique, écriture insolite Debra Kelly, Philippe Soupault, la guerre, l'Angleterre : Ode à Londres bombardée Michel Murat, La faiblesse des paroles Joëlle Jean, Philippe Soupault, le passant passeur Ombre portée Anne Clancier, Philippe Soupault, enfances, Extrait d'un entretien avec Philippe Soupault (23 avril 1979) Nathalie Nabert, La mort dans la poésie de Philippe Soupault